De moins bonnes conditions de travail dans les soins ? NON à EFAS !

Les prestations médicales sont aujourd’hui financées différemment. Selon qu’elles sont dispensées sous forme ambulatoire ou stationnaire dans un hôpital, un autre organisme paie. Désormais, les trois quarts des coûts seront supportés par les primes – et les personnes qui les paient. Les conséquences de cette réforme sont imprévisibles pour les assuré-es et les patient-es. En cas d’acceptation de ce projet, les conditions de travail du personnel soignant risquent de se dégrader, les participations directes aux coûts d’augmenter pour toutes et tous et les primes d’assurance-maladie d’augmenter elles aussi. Cette expérience doit être stoppée dans les urnes. 

Voici ce qui risque de se produire en cas d’acceptation :

En lieu et place des cantons, la réforme prévoit que les caisses maladie gèrent 13 milliards de nos impôts. En plus des 35 milliards de francs de primes. C’est une boîte noire : le contrôle démocratique sur la gestion de cet argent serait largement diminué. Il reviendra alors directement aux assureurs de distribuer ces milliards, ce qui leur confiera un grand pouvoir. Cela augmentera la pression sur le personnel de santé et les conditions de travail, en plus de la charge actuelle.

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